La situation autour du nouvel immeuble de l’Assemblée nationale où plus tôt ce jour a e lieu la protestation antigouvernementale intitulée « Grande insurrection populaire » s’est calmée pour le moment. La plupart des protestataires sont partis. Ils retourneront encore ce soir pour la mobilisation sociale consécutive, annoncent les reporters de la RNB.

Il y a parmi les contestataires quelques personnes interpellées qui s’étaient munis du matériel interdit devant leur permettre de priver les policiers de leurs équipements, ainsi que de monter sur des automobiles de service, annoncent des responsables du ministère de l’Intérieur. 

En résultats des affrontements devant le parlement 16 personnes sont hospitalisés dans différents hôpitaux de la capitale, ont annoncé des médecins des urgences. Les uns se sont étouffés avec du gaz poivré, d’autres ont été blessés par des objets jetés, entre autres. Parmi les blessé il y a aussi bien des protestataires que des policiers et des journalistes.

Le Conseil des médias électroniques (CME) a rendu publique sa position par laquelle il condamne toute violence, ce qui enfreint les droits de l’Homme et leurs libertés. « La démocratie se caractérise par le dialogue et non pas par la guerre. La violence n’est pas un argument mais une preuve d'impuissance face à la libre expression, est-il souligné dans la position du régulateur des médias.