L’Institut tchèque de Sofia a réussi un triplé remarquable – allier trois projets : tchèque, slovaque et bulgare consacrés à l’éternel féminin. Les images de femmes aimées et controversées, honorées et détestées, mais qui, néanmoins ont marqué l’histoire et ont bataillé pour que leurs consœurs prennent leur propre destin en main. Le choix des tableaux de ce triptyque en dit long „Les héroïnes tchèques / Les pionnières/ Je suis Bulgare“.
Les héroïnes tchèques sont des personnages historiques, mais aussi contemporains – reines, politiques, artistes peintres, chercheuses, athlètes, représentées grâce à la mosaïque illustrée.
„Les pionnières“, c’est l’intitulé du volet slovaque du triptyque, il a été réalisé avec le concours de l’ambassade de la Slovaquie à Sofia. Un retour sur le destin de femmes célèbres, qui se sont distinguées dans divers domaines interpelle le public sur les problèmes de l’égalité des sexes et le rôle de la femme dans l’histoire.
„Je suis Bulgare“ présente 15 portraits, la plupart entrés dans le livre éponyme de Petia Aleksandrova. A les contempler on peut penser, à juste titre d’ailleurs, que ces portraits sortent de leur contexte littéraire pour s’animer et vivre en tant que récits visuels.
L’exposition peut être vue jusqu’au 3 novembre.
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