En ce dernier jour d’une année difficile, qui a remis en question toute notre existence et nous a fait douter de tout, nous essayons de dresser tant bien que mal le bilan de ces longs mois de confinement, restrictions, gestes barrières, distanciation physique et … télétravail. Et Dieu merci, nos traditions ancestrales sont là pour nous rappeler que tout n’est pas fini et que la vie est un éternel recommencement…
Joyeuse année !
Epis doré dans les champs,
Pomme rouge dans le jardin,
Maison pleine de joie !
Soyez en bonne santé et en vie,
Jusqu’à l’année prochaine,
Ainsi soit-il !
Tels sont les vœux formulés au début de chaque année qui traduisent les espoirs et attentes des Bulgares, jeunes et vieux. Des vœux et des coutumes, plutôt patriarcales, qui permettent de franchir le cap de la nouvelle année, sans trop de regrets et de rancœur pour celle qui s’en va…Et bien sûr, tous ces joyeux rituels se passent en famille autour de la table richement garnie des plats du réveillon du Jour de l’An.
Plongez-vous dans cette atmosphère, chargée de signification et de symboles en suivant ce lien :
Photo : archives
Le 8 novembre, l’Église orthodoxe bulgare célèbre la fête des anges saints et surtout de Saint Michel Archange , patron des forces célestes dans leur combat contre les esprits des ténèbres et du mal. Il est le chef de tous les bons..
Tout comme à l’époque moderne, l’intérêt matériel évince la vie spirituelle, la réflexion sur le salut de l’âme est devenue, pour ainsi dire, le cadet de nos soucis. En perpétuel manque de temps, submergés de tâches pressantes, l’étincelle divine en..
Le 26 octobre l’Église orthodoxe bulgare rend hommage à Saint Dimitar de Thessalonique, le Thaumaturge. Le peuple bulgare célèbre depuis la nuit des temps la fête de Saint Dimitar à laquelle sont associées de nombreuses coutumes et traditions...