Le président Roumen Radev a critiqué le gouvernement lui reprochant de ne pas avoir réussi à peaufiner la proposition bulgare sur la Macédoine du Nord, préférant déposer la proposition française et rejetant l'entière responsabilité de la decision sur l'Assemblée nationale, faute d'une position bien verrouillée. "Le premier ministre n'est pas un coursier, mais le premier des ministres", a indiqué Radev lors d'un point presse. A ses dires, l'inscription des Bulgares dans la Constitution de la Macédoine du Nord avant l'ouverture des négociations d'adhésion est une condition sine qua non, mais elle ne suffit pas. Quant aux propositions de la présidence française de l'UE, il les a qualifiées de pas en avant, tout en soulignant que beaucoup d'autres aspects doivent être précisés avant de songer à lever le veto. Il s'agit notamment d'une éradication de la politique de débulgarisation, de vol et de falsification de l'histoire bulgare, de la préservation du patrimoine culturel et historique bulgare, sans oublier de mettre un terme au discours de la haine. "J'attends du gouvernement bulgare qu'il éclaircisse et précise toutes ces questions, dans le respect des mécanismes clairs et des garanties pour la défense des intérêts bulgares", a indiqué Roumen Radev.
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