"Il existe des chances de pouvoir former un gouvernement ". C'est ce qu'a déclaré Boyko Borissov précisant que pour l'instant, les négociations avançaient dans la bonne voie. "Mais plus nous évitons d'en parler, mieux c'est", a indiqué Borissov qui s'est dit optimiste de la teneur des discussions que son équipe de négociateurs mène à la recherche d'une majorité. Boyko Borissov a aussi précisé que la conjoncture internationale était telle qu'elle obligeait la Bulgarie à former un gouvernement régulier. Le leader de GERB a tenu à souligner que deux hommes empêchaient la formation d’un gouvernement : Assen Vassilev, coprésident de "Poursuivons le changement" et Délyan Péevski, chef de file du "MDL-Nouveau départ".
Ce à quoi, Péevski a répondu que si un gouvernement était constitué, son parti sera dans l'opposition. Il a de nouveau appelé à la tenue de nouvelles élections "pour qu'on sache clairement qui est le grand vainqueur". A ses dires, pour aboutir à quelque chose, "il faut rassembler un wagon de partis, sans que l'on sache quel sera le résultat". Selon Péevski, Boyko Borissov est la première force politique et le nombre des parlementaires avec lesquels il est en négociations suffit pour former un gouvernement. Il a d'ailleurs appelé à l'accélération du processus au nom de la Bulgarie, son parti se chargeant de pointer du doigt les erreurs.
Le scénario "Nouvelles élections" еst prêt, a ajouté Péevski, et si un gouvernement est constitué sous le premier mandat, il ne fera que repousser l'échéance des prochaines législatives anticipées.
Sinon, Délyan Péevski s'est dit disposé à dialoguer avec tous ceux qui sont prêts à œuvrer pour la Bulgarie, car les "Bulgares ont besoin d'un nouveau départ ".
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